jeudi 30 septembre 2010

De belles espèces


Encore une journée bien chargée hier, entre la gelée de prunes, les pommes pour la compote, les navets et radis à congeler et le reste.

À cela s'ajoute les tomates cueillies lundi.
Un premier tri, pour laisser les vertes murir tranquillement - évider les plus grosses pour les futures farcies - mettre de côté les nouvelles espèces pour garder quelques graines et surtout juger du goût - et enfin faire du coulis.


J'ai pris deux petites photos pour illustrer

et juger de la diversité des formes et des couleurs :

  • tout d'abord la jaune : Couille de Taureau Jaune, forme assez caractéristique n'est-ce pas ?
    Niveau goût par contre, pas terrible, malgré un plant assez productif, elles ne sont pas géniales. Je la retente malgré tout l'an prochain, sait-on jamais.
  • ensuite :
    - Coeur de Boeuf (en haut à gauche) avec la forme caractéristique et parfaite,
    - Coeur de Boeuf Ukrainien (en haut à droite) très bon goût, dommage pour la forme,
    - Pink Berkeley Tie Die (en bas), très belle et le goût est du même ordre.

Il reste encore de belles journées devant nous j'espère, ce qui permettrait de goûter d'autres nouveautés et de profiter encore de l'été avec de bonnes salades.

À la semaine prochaine donc pour découvrir tout cela.

mardi 28 septembre 2010

Un haricot plein d'histoire : Haricot dolique



Voici un petit haricot plein d'originalité de part sa floraison tout d'abord.

Je ne le consommerai qu'en salade cette année ayant laissé séché les gousses sur place. Maintenant ne reste plus qu'à les ramasser.

Il en existe plusieurs espèces naines et grimpantes - la grimpante ayant d'ailleurs une jolie couleur violette dans mon jardin, elle sera soigneusement récoltée et menée en rames l'an prochain.

Un peu d'histoire, mais celle-ci n'est pas évidente à remonter. Il y a plusieurs versions.

  1. J'ai trouvé un joli conte sorti tout droit de chez messieurs les curés - ici :

    Le haricot dolique à tache noire est né, dit-on, pendant la révolution Française. Nous retraçons son histoire dans un journal de la Sarthe :
    "La révolution battait son plein, le curé d'un petit village d'Alsace était inquiet. "Les brigands de la République" fonçaient sur sa paroisse.
    Où vais-je cacher le Saint Sacrement ? confia-t-il à une de ses paroissiennes.
    Amenez-le chez moi, j'ai un jardin un peu en retrait du village, on le cachera dans mes haricots à rames, ils n'iront pas le chercher là.
    À l'automne, la surprise de la brave paysanne fut grande en ramassant ses haricots. Normalement, comme les récoltes précédentes, ils auraient dû être blancs, mais ils étaient tous marqués d'une petite tache brune surmontée d'une auréole blanche.
    Aussitôt, la brave femme se précipita chez son curé qui voulut reconnaître dans cette minuscule tache une hostie enchassée dans un ostensoir brun. Et le curé de s'écrier : "C'est une récompense à votre bonne Foi, à votre courage face au danger, car si cela avait été découvert, vous étiez fusillée et moi aussi, votre maison brûlée et peut être tout le village".
    La tourmente de la Révolution passée, cette histoire d'haricots miraculeux se répandit vite avec preuves en mains, car chacun des haricots semés se reproduisait avec la même marque. Et plus de 200 ans après, la signature est toujours au rendez-vous.
    C'est ainsi que les fameux haricots furent baptisés les haricots du Saint Sacrement".

  2. Un peu plus "sérieusement", nous trouvons d'autres explications : ici - bien que sur d'autres sites certains le disent originaire d'Inde (?).

    Le haricot dolique aurait été domestiqué il y a 5 000 ou 6 000 ans en Abyssinie (Éthiopie actuelle), en même temps que le sorgho, importante céréale de ce continent.
    Le dolique a tout d'abord été consommé à l'état sauvage bien longtemps avant sa domestication.
    Le dolique mongette, une sous-espèce, a été introduit au début de notre ère par les Grecs de Marseille dans ce qui était encore la Gaule, d'où il s'est répandu progressivement dans le reste du pays. Son emploi reste très fréquent jusqu'à la Renaissance, bien que les textes médicaux du Moyen Âge l'accusent de provoquer "des songes terribles et mensongers".
    Après la conquête, il sera remplacé par le haricot du Nouveau Monde et sa culture ne survivra que dans de rares régions de France : Vendée, Poitou, Charentes.
    Il est toujours cultivé en Italie, en Espagne et tout particulièrement au Portugal.
    On le trouve aussi dans les pays arabes, et au Brésil, c'est l'une des principales légumineuses locales.
    On pense qu'il a été introduit en Amérique par la Jamaïque, vers 1675, par les marchands d'esclaves noirs qui en apportaient de grandes quantités pour nourrir leur tragique cargaison. Comme il est bien adapté aux climats tropicaux et qu'il est riche en nutriments, il s'est rapidement diffusé aux Antilles.
    Au XVIIIe siècle, il y est cultivé partout. Après avoir fait son entrée aux États-Unis vers 1700, sa culture se répandra dans tous les États du Sud, remplaçant le pois, mal adapté aux températures élevées et aux sols secs.
    Aujourd'hui encore, il joue un rôle important dans l'alimentation des populations de ces régions.

  3. Usages culinaires

    Traditionnellement, en Afrique, on fait tremper les grains de dolique pendant quelques heures, puis on les frotte entre les mains pour en retirer la peau, moins digeste que le coeur.
    Toutes les légumineuses gagnent en digestibilité si on leur applique ce traitement. C'est d'ailleurs pourquoi beaucoup d'entre elles sont vendues décortiquées et fendues.
    On peut trouver dans les épiceries asiatiques, de même que dans certains supermarchés des métropoles, des gousses vertes de dolique à longue cosse. Elles sont également proposées en boîte de conserve.
    Le dolique à oeil noir est souvent vendu sous son nom anglais de Cowpea.

  4. Quelques recettes

    En Afrique, le Thiébou Niébé se prépare en faisant cuire les doliques une vingtaine de minutes.
    On fait ensuite revenir un oignon et des cubes de viande dans de l'huile, et on ajoute divers légumes (manioc, carottes, okra) ainsi qu'une bonne quantité d'eau.
    On cuit jusqu'à ce que les légumes soient tendres. Ces derniers sont ensuite retirés de la casserole, en même temps qu'un peu de sauce que l'on met de côté, et sont remplacés par du riz et les doliques mi-cuits.
    La cuisson reprend jusqu'à ce que le riz soit prêt. On sert avec la sauce.

    On peut aussi faire germer les doliques. Choisir des grains entiers plutôt que des grains décortiqués et fendus.
    On mangera les jeunes pousses crues ou on les fera sauter quelques minutes.

    Le Moyin-moyin, une variante du pouding, vient du Congo.
    Faire cuire des doliques après les avoir laissés tremper toute la nuit et débarrassés de leur peau.
    Les écraser ensuite pour obtenir une épaisse purée. Ajouter graduellement de l'eau de façon à ce que la purée soit maniable. Battre au fouet en ajoutant quelques gouttes d'huile.
    Mélanger ensemble tomates, oignon et piment fort en les hachant finement, saler et poivrer, et incorporer cette préparation aux doliques.
    La cuisson se fait au four (30 à 35 minutes) au bain-marie, dans des ramequins.
    Les Africains modifient cette recette à volonté en ajoutant aux légumes de base un peu de viande (fraîche, cuite ou en conserve), de poisson ou de fruits de mer (frais, séchés ou fumés), des carottes, des pois, des poivrons, un oeuf dur, etc.

    Les Accras constituent une variante de cette recette de base.
    Au lieu de cuire la purée au four dans des ramequins, on en fait des galettes que l'on fait frire dans l'huile et que l'on sert avec une sauce piquante.
    On fait aussi souvent cuire les doliques avec du maïs (frais, congelé ou séché) jusqu'à ce qu'ils se désintègrent et forment une épaisse purée.

    En Inde, les doliques peuvent servir à la préparation d'une soupe ou d'une purée.
    Les faire cuire dans de l'eau avec du curcuma; les écraser et ajouter des tomates, de la coriandre fraîche, des piments forts et du sel, puis poursuivre la cuisson une quinzaine de minutes.
    Faire sauter à part des oignons avec du cumin, et ajouter à la soupe. Servir sur du riz basmati.
    D'innombrables variantes sont possibles, en changeant l'équilibre des épices (curcuma, cannelle, gingembre, cumin, cardamome, coriandre, garam masala, graines de moutarde, assa-foetida, tamarin, piments forts, citron, etc.) et en servant avec différents légumes.
    À noter que beaucoup de ces épices ont des propriétés carminatives, ce qui facilite la digestion des légumineuses.

    On peut les apprêter cuits en salade avec du poulet, des oignons verts émincés et du persil.
    Décorer avec des canneberges séchées et des arachides rôties, et arroser d'une vinaigrette au miel et à la moutarde.
    On peut aussi les faire cuire dans de l'eau avec des pommes de terre, des oignons verts et des épices indiennes. Servir chaud avec des légumes verts.

    Quelle que soit la recette employée, on peut faire rôtir les doliques à sec une dizaine de minutes avant de les faire cuire dans l'eau. Ils prendront alors une agréable saveur de noisette.

  5. Culture

    On peut cultiver doliques en bac.
    Les variétés grimpantes sont du plus bel effet sur un balcon ou contre une clôture.
    On peut les cultiver pour les consommer comme mange-tout ou pour leurs grains.
    Pour éviter les problèmes de pourriture de la racine, attendre que le sol soit bien réchauffé avant de semer (autour du 6 juin dans le Sud du Québec). Semer les variétés naines en les espaçant de 5 cm à 7 cm, et les variétés grimpantes de 20 cm à 22 cm.
    Cultiver comme le haricot ordinaire, en veillant à ce que le sol soit travaillé en profondeur pour permettre le plein épanouissement de la racine pivotante.
    Les gousses du dolique à longue cosse peuvent facilement atteindre 1 m de long, mais pour la consommation, il est préférable de les récolter lorsqu'elles ont environ 30 cm.
    Les doliques peuvent croître et se répandre dans des milieux semi-arides où il ne tombe que quelques centimètres de pluie par an et où toute autre légumineuse dépérirait et ne donnerait aucun rendement.

Jolies cueillettes


Cela fait un moment que je n'ai posté à propos de mon jardin.
Voici donc la dernière cueillette d'hier.
Au total, il doit y avoir environ 20 kg - j'en ai profité pour arracher aussi tous les radis blancs et noirs qui iront au congélateur en attendant de faire des soupes ou autres préparations ainsi qu'une courgette pour ce soir - Steacks hachés / Gratin de courgette.

Tout cela vient s'ajouter aux 15 kg de la semaine dernière - photo suivante.
Les transformations vont donc bon train - coulis ... - et je tente cette année la congélation de tomates évidées ce qui permettra de les ressortir cet hiver pour faire mes farcies.
Une petite nouvelle aussi Coeur de Jade, la couleur est très jolie et le goût ... un délice :)

jeudi 23 septembre 2010

Tomates farcies

Voici encore une recette traditionnelle : les tomates farcies avec son lot de recettes diverses et variées que l'on trouve un peu partout.

Hier, je triais les tomates du jardin : certaines pour le coulis, d'autres pour les salades et les dernières pour les farcies de cet hiver. Pour ces dernières, je les ai évidées, salées un peu à l'intérieur et retournées sur un plat. Et directement au congélateur.
Idéal à ressortir cet hiver en fonction des quantités à réaliser - farcir suivant ce que vous avez sous la main et au four.

Cela permet de retrouver un peu les saveurs de l'été mais aussi d'utiliser les restes de la semaine.
Voici donc ma recette :

Tomates farcies

Ingrédients :

  • tomates évidées,
  • restes de viandes - roti, poulet, beefsteack et autres viandes,
  • escaloppes de dinde,
  • riz cuit,
  • oignon, ail,
  • concentré de tomates ou sauce tomates,
  • sel, poivre

Préparation :

Les proportions se font en fonction de la quantité désirée, mais en faire plus n'est pas un soucis, cela fera un complément au plat ou vous pourrez mettre l'excédent au congélateur pour la fois suivante.
Penser à sortir la viande du congélateur, le matin ou la veille.

Préchauffer le four à 180°C.

Sortir les tomates du congélateur ou évider vos tomates.
Enlever le pédoncule du chapeau, saler le tout et retourner sur un saupalin.

Faire cuire les escaloppes de dinde, avec l'oignon émincé.
Couper toutes les viandes en cubes et passer le tout au mixer, plus ou moins fin selon vos goûts.

Dans un grand saladier, mélanger les viandes émincées, l'ail émincé, le riz cuit, la moitié de la sauce tomate.
Saler et poivrer.

Garnisser vos tomates avec la préparation, placer le chapeau à l'envers pour la cuisson pour ne pas qu'il s'abime - ainsi, au moment de servir, ce sera plus joli.
S'il vous reste du riz et de la viande, vous pouvez le disposer tout autour des tomates.
Un filet d'huile d'olive sur le tout et enfourner 40 minutes environ.

Servir avec de la sauce tomate pour que cela soit un peu moins sec. Bon appétit.

Astuces :

  1. Vous pouvez utiliser le riz d'un plat précédent, le mieux est d'en faire un peu plus en prévision des tomates farcies.
  2. Pensez à mettre au congélateur vos restes de viandes après chaque repas, cela peut-être le poulet (à émincer avant de congeler), la moitié du beefsteak que le petit n'a pas terminé, une escaloppe, enfin tout ce qu'il reste, le mieux est de consacrer une boîte à cela et au fur et à mesure, vous la remplissez de tous ces petits bouts, ça sera plus utile là que dans la gamelle du chat.
  3. Et pour finir, j'utilise des escaloppes de dinde car c'est moins cher.
    Vous voyez, un petit plat facile, pas trop long à préparer et surtout pas trop cher ;)

Quiche lorraine


Voilà un plat traditionnel et aux multiples variantes. Il y a de tout pour tous les goûts.
Je vous donne celle que désormais j'adopte. Elle est aussi bonne au sortir du four que le lendemain froide.

Quiche lorraine

Ingrédients :
  • 1 pâte brisée ou feuilletée
  • 3 œufs
  • 200 mL de crème liquide
  • 150 mL de lait
  • Sel - Poivre
  • Noix de muscade - meilleure rapée sur le moment
  • 200 g de lardons ou 3 tranches de jambon
  • 150 g de gruyère râpé
Préparation :
  1. Préchauffer votre four à 180°C.
    Si vous réalisez votre pâte vous même, précuire votre pâte à blanc dans un moule.
    Si vous utilisez une pâte du commerce, faites juste quelques trous pour favoriser la cuisson.
  2. Casser les œufs dans un bol. Les battre à la fourchette ou au fouet.
    Ajouter les noix de muscade râpées, le sel, le poivre, le lait, la crème et le gruyère. Mélanger.
  3. Faire revenir les lardons dans une poêle sans matière grasse. Puis égoutter les dans du papier absorbant.
    Les disposer sur votre pâte.
  4. Verser délicatement votre préparation liquide sur la pâte puis enfourner la quiche pendant 50 minutes.
Bon appétit.

jeudi 16 septembre 2010

Crèmes gratinées aux pommes

Voici un dessert tout simple À TOMBER !
Je l'ai trouvé là : http://www.epicurien.be/blog/recettes/desserts/cremes/cremes-gratinees-aux-pommes.asp - essayer, c'est le refaire très rapidement.
C'est fondant, sucré, doux .... un régal.

Sans plus attendre, voici les détails :

Crèmes gratinées aux pommes
Ingrédients pour 6 personnes
  • 2 pommes à chair ferme
  • 40 cl de crème
  • 9 jaunes d’œufs
  • 100 g de sucre
  • 1 gousse de vanille
  • 50 g de cassonade
  • 80 g de beurre

Préparation

Épluchez et épépinez les pommes, coupez-les en lamelles.
Préchauffez le four à 140°C - thermostat 4 - 5.
Beurrez des petits moules à gratin.

Dans une poêle, faites mousser le beurre et faites cuire doucement les lamelles de pommes, juste pour les dorer sans les cuire.
Disposez les lamelles de pommes sur le fond des plats à gratin.

Dans un saladier, battez les jaunes avec le crème, le sucre.
Ouvrez la gousse de vanille en 2 et grattez les graines au dessus du saladier, mélangez.
Versez sur les pommes, saupoudrez de cassonade et enfournez.

Surveillez la cuisson, 20 minutes environ - le dessus doit être doré et la crème doit rester tremblotante.

Bon appétit.

lundi 6 septembre 2010

Du travail mais que de bonnes choses


Ca en fait des choses à faire.
Toutes ces fruits et légumes viennent de chez l'oncle, il ramasse tout ce qu'il peut et partage, ne reste plus qu'à transformer le tout.
Au final, cela fait de bonnes gelées, compotes et autres confitures.

Depuis, nous avons eu des pommes, des haricots, de nouveau des mures ...
Demain sera donc à nouveau chargé avec de la gelée de prunes, de mures et du coulis de tomates.

Chocolate crinkles

Comme promis, voici la recette de ces petits chocolate crinkles.

Je l'ai trouvé sur ce blog, très sympa. De nombreuses recettes que je vais reprendre régulièrement et vous faire partager.

En attendant voici pour celle-ci.
Chocolate crinkles
  • 225 g de chocolat noir 70%
  • 56 g de beurre - demi-sel toujours
  • 100 g de sucre semoule
  • 2 oeufs
  • 210 g de farine
  • 1 pincée de sel si vous utilisez du beurre doux
  • une demi-cc levure chimique
  • 1 cc vanille en poudre
  • 100 g environ de sucre glace tamisé pour l'enrobage

Faire fondre au bain-marie le chocolat et le beurre. Ôter du feu et réserver.

Dans un bol, battre le sucre et les oeufs jusqu'à ce que le mélange devienne pâle, épais et forme un ruban quand on soulève le fouet.
Ajouter la vanille, mélanger puis incorporer le chocolat/beurre fondu.

Dans un autre bol, mélanger la farine et la levure tamisées (avec le sel).
Ajouter au mélange précédent et mélanger sans trop travailler la pâte : il suffit que la farine soit amalgamée. Couvrir le bol avec du film étirable et réfrigérer environ 1 heure.

Préchauffer le four th. 5 - 6 (170°C) et chemiser 2 plaques à pâtisserie avec du papier sulfurisé.
Verser le sucre glace tamisé (environ 100 g) dans une assiette plate.
Sortir la pâte du réfrigérateur et former des petites boules de la taille d'une balle de ping-pong. Faire rouler les boules dans le sucre glace jusqu'à les recouvrir complètement et les déposer sur la plaque à pâtisserie en les espaçant de 4 - 5 cm. Les aplatir un peu au moment de les disposer.

Cuire 10 - 15 min - le coeur des gâteaux doit rester moelleux, sachant qu'il durcit en refroidissant.
Laisser refroidir sur une grille.

 
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